La respiration de la peinture abstraite… Ne plus penser qu’aux formes, aux lignes, aux valeurs, aux couleurs et à tous les rapports entre ces éléments.Saisir le hasard, puiser l’énergie. Le cerveau en mode démiurge. Le geste est un outil. Se sentir plus près de la vie que lors de la recherche d’une figuration. Et pourtant, l’idée de paysage est toujours là, incrustée, instinctive, dissimulée dans des formes telluriques. C’est ainsi. Le chemin à parcourir sera long pour “s’abstraire” enfin.
L’abstraction – 1
- Publication publiée :24 octobre 2018
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